Le blog de Agnès & Hugues

J’aime la période de fêtes ; les journées au travail sont plus tranquilles, la circulation est très fluide, les jours fériés sont les bienvenus pour se reposer, passer du temps en famille, bien manger,…

Enfin, pour la plupart des gens, c’est ca.

Pour moi…et bien, comme j’ai la chance d’avoir des travaux à faire à la maison…je ne me gêne pas.

Que croyez-vous que je fais le 25 Décembre ?

Ou pensez-vous que je suis le 1^er Janvier ?

Quelques images pour vous mettre sur la piste…

 Un de mes endroits favoris…je dois l’aimer pour y aller aussi souvent !

Si on se rapproche du lieu ou sont situées les descentes d’eau, on peut voir ceci.

…je suis d’accord, c’est pas jojo !

J’ai remarque une fuite d’eau dans cet enchevêtrement de tuyaux ; difficile d’en connaitre l’origine.

La difficulté principale provient de la faible hauteur, de la nécessité de ramper et de travailler allonge.

En creusant autour des tuyaux, je remarque que des racines, toutes fines, se sont développées à cet endroit.

D’où viennent ces racines ? Probablement d’un gros arbre présent a l’extérieur, en limite de propriété.

Que faire ? Zigouiller l’arbre ? Il fait une dizaine de mètres de hauteur, énorme…et notre voisin n’a pas envie de le voir disparaitre.

Je choisis la solution la plus simple : couper les racines et essayer de les empêcher de revenir.

Je dis « essayer » parce que si elles veulent vraiment revenir, elles le peuvent…c’est juste une question de temps !

Je répare comme je peux…pas terrible comme boulot mais c’est ca ou je casse tout pour remplacer toutes les canalisations.

On verra ce que ca donne…

Un peu plus bas sous la maison, on aperçoit un tuyau que j'ai installé pour évacuer l’eau en cas de pluie.

Travail a terminer…

A l’extérieur, un superbe mur de soutènement !

Happy New Year !

25 décembre…le jour se lève en Australie.

Clovis se réveille avant tout le monde et va vérifier que les cadeaux sont bien arrives au pied de la cheminée…puis nous secouer dans le lit pour nous en informer.

Alors, continue-t-il à croire au père Noel ?

On peut dire que le doute s’est installé et qu’il se fait une place de plus en plus confortable. Apercevant une carte avec marquée « Joyeux Noel », il me demande «Does Santa speak French ? Look ! » ; il s’agissait en fait d’une carte des grands-parents, je lui dis « Non, ca c’est pas Santa, c’est une carte de Papy & Mammy, regarde, il y a leur signature ».

Un peu plus tard, un gros bon moment plus tard, Clovis n’y tient plus et va réveiller son petit frère…qui arrive un peu grognon, mais qui, minute après minute, retrouve le sourire en voyant tous les cadeaux qui attendent d’être ouverts.

Sa maman a acheté un jeu 3 mois auparavant en présence de Sydney, a ensuite caché ce jeu et a prévu que Sydney ait tout oublié de cet achat.

Sydney ouvre ses cadeaux un à un, ravi !

Quand il découvre l’un d’entre eux, il dit « Celui-là, c’est pas un cadeau de Santa, c’est maman qui l’a acheté je me souviens ! »

Ce qui confirme que ces histoires de Santa, de qui fait les cadeaux, tout ca n’est pas très clair.

Surtout que…qui a vu le vrai Santa ? Pas celui qu’on a croisé dans la rue l’autre jour, non, le vrai Santa, qui l’a vu ?

Un petit garcon pensif avant l'ouverture des cadeaux

Chers amis, nous nous retrouvons dans le gymnase de Thornleigh (prononcez « sssornli ») pour un match de volley-ball. C’est à cet endroit que je viens tous les mercredis soir pour me dégourdir les jambes.

Le saison a commence début avril et j’ai fait un ou 2 match intéressants ; les filets sont réglés a une hauteur accessible, 15 bons centimètres en dessous du niveau officiel…les attaques sont rendues beaucoup plus faciles…et les défenses plus difficiles.

Pendant quelques semaines, on pouvait observer du flottement dans la composition de l’équipe Devo…jusqu'à ce que l’effectif se stabilise.

C’était sans compter le flottement dans une autre équipe…mon équipe Devo s’est alors scindée en 2, la moitié venant prêter main forte à celle vacillante, l’autre moitié rejoignant…je ne sais qui.

A partir de ce moment la, j’ai couru pour ma nouvelle écurie « Six Pack ».

Ennuyeux. Ennuyeux je les ai trouvés les matchs avec Six Pack. Le niveau était très moyen, certains joueurs « la jouaient trop perso »…

J’ai néanmoins continué, sans conviction…

La compétition « printanière » a succédé a l’ »Automnale ». Malgré 2 départs de joueurs, nous avons toujours réussi à être au moins 5 chaque mercredi pour faire les matchs…et abriter !

Parce que, attention, ici, l’arbitrage, c’est du sérieux.

En France, on se débrouiller pour s’auto-arbitrer.

En Australie, même à des niveaux moyens…disons-le « moyens-inferieurs », on a besoin d’arbitres neutres.

Le premier joue le rôle de l’arbitre officiel. Le deuxième est de l’autre coté du terrain pour aider, un troisième regarde la ligne de fond d’un coté, le quatrième regarde la ligne de l’autre coté…un autre compte les points sur un document tres officiel. Le sixième est à la table de marque, les points sont affichés en temps réel au tableau électronique.

Incroyable ! On doit être 6 pour arbitrer ces matchs de quartier !

Quand on ne joue pas, on est en général charge d’arbitrer un match.

Voila, la saison se termine. Globalement, à défaut d’être passionnant, on s’est parfois un peu amusé quand même et au moins, on a fait du sport.

Pendant la trêve, on va réfléchir à ce qu’on peut améliorer…

Mon blog est public et accessible à tous.

J’ai remarqué que des internautes à la recherche d’informations sur des travaux à réaliser, guides par des moteurs de recherche, atterrissent sur mon blog.

Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, sachez que c’est un plaisir de vous accueillir sur mon blog.

Je suis loin d’être un spécialiste des travaux, je suis un modeste « bricoleur du Dimanche » ; néanmoins, je suis très heureux de pouvoir partager mes expériences.

Le thème du jour : le mur de soutènement.

J’en ai déjà parlé il y a environ un an. Le mur que j’ai réalisé semble bien tenir.

Les points importants pour que le mur tienne :

Prendre en compte la quantité de terre que le mur devra supporter.

Faire en sorte que les eaux pluviales puissent s’évacuer ; si la terre se gorge d’eau, la pression exercée sur le mur sera beaucoup plus forte.

En ce qui me concerne, la quantité de terre à retenir est assez faible, environ 15 mètres cube pour une longueur de mur de 12 mètres et une hauteur de 1,40m.

J’ai donc choisi un procédé « léger », les briques creuses, pour que l’eau puisse s’évacuer sans problème a travers le mur.

J’ai procédé de la manière suivante :

Nettoyé le sol pour pourvoir poser mes briques ; faire en sorte que le sol soit le plus horizontal possible.

Cimenté les briques – creuses – et les ai alignées.

Je n’ai pas fait de fondations (c’était difficile à l’ endroit ou je montais mon mur) mais j’ai coulé un peu de béton pour que la structure soit suffisamment solide.

Ensuite, j’ai monté mon mur tranquillement.

J’ai mis des pierres le long de mon mur, sur toute la hauteur et sur une largeur de 30 cm environ (conseil vu sur internet).

Ensuite, j’ai mis ma terre, à la brouette ; la terre que j’ai est très compacte et très étanche a l’eau. C’est un aspect important : l’eau, au lieu de pénétrer dans la terre, ruisselle au dessus et ne va pas venir « peser » sur le mur.

Quand le trou est comblé avec la terre, j’ « habille » le dessus de mon mur avec des pierres.

Je prolonge actuellement mon mur, toujours avec la même méthode.

Pour ceux qui ont auront une quantité de terre plus importante a soutenir, par exemple 50 mètres cube, prévoyez une construction plus costaude, avec, ca et la, des trous pour l’évacuation des eaux pluviales.

Les angevins sont de retour !

Il me revient en mémoire une cocasse anecdote que j’ai omis de raconter.

Lors de leur précédente venue, il était prévu qu’ils repartent le 20 Avril 2010 (à  peu près). Un volcan islandais s’est mis dans la tête d’émettre de la fumée quelques jours avant, provoquant des perturbations aériennes dans l’hémisphère Nord, particulièrement en Europe.

Air Austral, la compagnie avec laquelle nos invites partaient ne savait pas très bien quoi dire à leurs clients. Je me souviens encore de l’appel que je leur passe, 12h00 avant le présumé départ de l’avion.

« -Alors, est-ce que le vol est annulé ?

- Non, on dirait qu’il est maintenu…Ah, oui, il est maintenu.

- Pourtant, d’après les informations, les avions ne peuvent pas atterrir à Paris !

- Ils ne peuvent pas atterrir…mais en tout cas, cet avion est maintenu au départ de Sydney! »

Ca ne vous rappelle pas un sketch ? Mais si, faites un effort !

« - Cet avion, il atterrit ou il n’atterrit pas ?

-      Il atterrit…mais il repart aussi sec !

-      Mais moi, je peux en descendre de cet avion ou pas ?

-      Y en a qu’on essayé…ils ont eu des problèmes…cela dit, il est très rapide ! »

C’était un peu pareil…l’avion était censé partir…mais ne pouvait pas atterrir !

Finalement, on a été à l’aéroport. On y remarquait une grande pagaille…et évidemment, tous les avions à destination de l’Europe étaient annulés.

Allez, on revient à la maison…on peut ressortir les valises du coffre !

...Vous repartirez quand le ciel européen s’éclaircira.